Ce serait long, ce serait trop long, ce serait tellement vain d'attendre qu'une main nous porte, qu'une main nous apporte demain sur un plateau.
On le sait il est fini ce temps là, celui où des mains de géant nous nourrissait de chaleur et d'abondance. Le chemin on le fait seul, avec ses mains à soi, les miennes sont de papier et parfois elles me font danser.
On le sait il est fini ce temps là, celui où des mains de géant nous nourrissait de chaleur et d'abondance. Le chemin on le fait seul, avec ses mains à soi, les miennes sont de papier et parfois elles me font danser.
En jolis mots et belles images le chemin d'un jour via: solenn denis
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RépondreSupprimerLe son des secondes entre tes bras
Un équilibre qui nous guette
Si fragile dans sa puissance
Comme le bleu le bleu-silence
Je pose ma main sur la tienne
Pierre vandel Joubert 2012
http://pierrevandeljoubert.wordpress.com/2012/11/27/novembre/
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RépondreSupprimerCette source a la couleur verte
Et prend l’espace de tes yeux
Le son des secondes entre tes bras
Un équilibre qui nous guette
Si fragile dans sa puissance
Comme le bleu le bleu-silence
Je pose ma main sur la tienne
Pierre vandel Joubert 2012
http://pierrevandeljoubert.wordpress.com/2012/11/27/novembre/